L’amour éternel existe vraiment

Mai 20 • Femme libertine • 3699 Views • Aucun commentaire sur L’amour éternel existe vraiment

Arthur Eron de l’Université d’Etat de New York à Stony Brook et le groupe de ses col­lègues ont décou­vert que les réac­tions neu­rologiques chez les per­son­nes qui débu­tent une rela­tion roman­tique et chez ceux qui assurent que leur pas­sion ne s’est pas éteinte avec les années, sont les mêmes.

D’abord, les chercheurs ont étudié ceux qui vien­nent de tomber amoureux. Quand les par­tic­i­pants regar­daient la pho­to de la per­son­ne aimée, le cerveau réagis­sait par le neu­ro­trans­met­teur dopamine ; c’est cette même zone qui répond à la per­cep­tion de la nour­ri­t­ure et de l’alcool aus­si bien que pour la stim­u­la­tion des désirs et des envies.

Après, l’é­tude s’est tournée vers 17 per­son­nes, mar­iées depuis longtemps (10–29 ans) qui pré­tendaient qu’ils se sen­taient comme au début de leurs relations.

Les pro­fesseurs ont élaboré une échelle de 7 points de l’intensité de l’amour. Tous les par­tic­i­pants ont pris plus de 5 points. Enfin, les par­tic­i­pants ont passé l’épreuve de la pho­to, et le con­stat est le même que l’autre groupe, la même zone définie du cerveau entre en activité.

Il y avaient égale­ment des dif­férences entre les deux groupes. Dans le pre­mier groupe, les zones du cerveau les plus actives étaient celles qui répon­dent aux obses­sions et à la ten­sion nerveuse. Par con­tre, chez les per­son­nes qui sont en cou­ples depuis longtemps, les zones les plus actives sont celles qui répon­dent aux rela­tions et la bienveillance.

Il est à not­er que les chercheurs cana­di­ens ont définit la prin­ci­pale cause de divorces : l’ennui.

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