Comment se protègent les femmes ?

Août 9 • Conseils hommes femmes au lit • 3503 Views • Aucun commentaire sur Comment se protègent les femmes ?

Les préser­vat­ifs ont atteint le même niveau de pop­u­lar­ité que les pilules comme moyen de con­tra­cep­tion util­isés par les femmes.

Les nou­velles don­nées de l’Agence nationale de sta­tis­tique de Grande Bre­tagne témoignent qu’une femme sur qua­tre choisit les préser­vat­ifs comme moyen de con­tra­cep­tion. Le même nom­bre de femmes préfèrent la pilule.

Il y a huit ans, quand l’Agence a pré­paré ce rap­port pour la pre­mière fois, seule­ment un cinquième des bri­tan­niques util­i­saient les préservatifs.

Le même rap­port annonce que 34% d’hommes sex­uelle­ment act­ifs, n’ayant pas de rela­tions sex­uelles sta­bles, ont avoué que l’année passée ils ont util­isés beau­coup plus de préservatifs.

Ces dernières années, les pro­duc­teurs de préser­vat­ifs ont com­mencé à adress­er leur pro­duc­tion aux femmes. L’emballage des préser­vat­ifs con­tient des couleurs féminines : turquoise, argen­tée, rose.

La société bri­tan­nique célèbre Durex a rap­porté qu’en 2008 ses ventes ont aug­men­té de 10%. Le pro­duc­teur croit que c’est grâce à l’apparition de la pro­duc­tion inno­va­trice adressée aux femmes – des lubri­fi­ants anatomiques au par­fum de cerise et de Pina-col­la­da et au gel intime qui ren­force les sen­sa­tions lors de l’orgasme. Les ventes de cette pro­duc­tion ont aug­men­té de 27% en une année.

Il y a égale­ment de mau­vais­es nou­velles. Les sta­tis­tiques témoignent que le pour­cent­age d’utilisation des préser­vat­ifs par­mi les gens au risque élevé d’attraper des infec­tions sex­uelle­ment trans­mis­si­bles reste bas. Moins de 50% de ceux qui ont eu plus de deux parte­naires sex­uels pen­dant une année, ont régulière­ment util­isé des préser­vat­ifs. 20% ne se sont pas pro­tégés des infections.

La quan­tité de per­son­nes atteintes par des mal­adies sex­uelle­ment trans­mis­si­bles con­tin­ue à aug­menter. Pour la péri­ode de 1998 à 2007 la quan­tité de chlamy­dia a aug­men­té de 150%, l’her­pès — de 51%, la blennor­ragie – de 42%.

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