Les médicaments contre la maladie de Parkinson ont transformé une britannique en obsédée sexuelle

Août 20 • Blog de femme libertine • 3816 Views • Aucun commentaire sur Les médicaments contre la maladie de Parkinson ont transformé une britannique en obsédée sexuelle

L’habitante de Grande Bre­tagne, qui prend des médica­ments con­tre la mal­adie de Parkin­son, a décou­vert que ces médica­ments ont un effet sec­ondaire étrange : ils provo­quent un fort désir sex­uel, poussent au shop­ping et à la com­mu­ni­ca­tion dans des réseaux sociaux.

La mal­adie incur­able a été décou­verte chez Vic­ki Dil­lon il y a qua­tre ans. Depuis ce temps-là, la femme prend les médica­ments pre­scrits qui l’aident à con­fron­ter les symp­tômes de la mal­adie de Parkinson.

Néan­moins, ces médica­ments ont un effet sec­ondaire inhab­ituel : ils provo­queraient une forte dépen­dance au sexe et une ten­dance aux dépens­es liées aux achats et aux soirées. Le fait est que les médica­ments pre­scrits stim­u­lent les par­ties du cerveau con­trôlant le plaisir.

Selon la bri­tan­nique, elle à tou­jours aimé faire du shop­ping, mais après l’utilisation des médica­ments, elle a décou­vert que ce désir l’obsédait et est finale­ment devenu incon­trôlé. « Un jour, je suis allée dans un cen­tre com­mer­cial et avant de réalis­er ce que je fai­sais, je me suis com­mandé de nou­veaux meubles pour ma cham­bre à couch­er », — a racon­té Vicky Dillon.

A présent, à l’aide des médecins, cette mère de deux enfants a appris à con­trôler ses désirs exces­sifs. Le cas de Dil­lon n’est pas unique. Plusieurs patients, atteints de la mal­adie de Parkin­son qui se soignent par des médica­ments, com­men­cent à avoir les mêmes effets sec­ondaires : ils devi­en­nent dépen­dants du sexe, des jeux ou de l’oniomanie (la manie des achats).

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